25,58 km².
Le nom du lieu fait référence à saint Crépin, martyr du IIIème siècle. La seconde partie du nom, d’origine germanique, pourrait signifier « mont puissant » ou « mont de Richarius ».
Le village est attesté au IIIème siècle sous la forme latine Sanctus Crispinus.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Colles sur Boulou ou Les Côtes sur Boulou.
En occitan, la commune porte le nom de Sent Crespin de Richemont.
Ainsi, l’agriculture occupe une place prépondérante avec 7 exploitations agricoles consacrées essentiellement aux cultures traditionnelles et à l’élevage.
Saint-Crépin-de-Richemont, a vécu, au fil du temps, les différents événements historiques nationaux au rythme souvent atténué des campagnes. Plusieurs signes d’occupation du territoire jalonnent son histoire. L’existence d’une pierre plantée, dite « peyro jovento » (pierre joyeuse), d’une sépulture gallo-romaine, d’un cluzeau façonné selon un modèle primitif, en sont les témoins essentiels pour la période pré médiévale. Enfin, d’une population maximale de 1 200 habitants à la fin du XVIIème siècle, la population est tombée à 230 habitants au début du XXIème siècle avec une décroissance régulière à partir de 1850.
La commune peut s’enorgueillir de plusieurs demeures nobles ou châteaux comme le château de Richemont de style Renaissance, construit entre 1564 et 1581 par le chroniqueur Pierre de Bourdeilles, abbé de Brantôme, enterré dans la chapelle du château.
L’église, au titre de bâtiment, est caractérisée par son retable inscrit à l’inventaire des monuments historiques.